Thérapie Manuelle des douleurs aigues du Genou et de la Hanche 

Formation destinée aux Masseurs-Kinésithérapeutes

Programme en PDF sur demande

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 Objectifs / Résumé :

La formation initiale dans les écoles de kinésithérapie a considérablement évolué ces dernières années notamment grâce à l’année supplémentaire et à l’obtention du grade master. Néanmoins, le temps dédié à la pratique des techniques manuelles reste parfois insuffisant aux yeux des étudiants et surtout, il leur est difficile, dans cette période d’apprentissage d’appliquer l’ensemble de l’arsenal thérapeutique vu en cours et celui-ci est alors vite oublié.

Les pathologies de l’appareil locomoteur sont nombreuses en pratique kinésithérapique libérale et la fréquence des affections rhumatismales de la hanche et du genou en font deux articulations clés. Le kinésithérapeute se doit de connaitre la sémiologie afin de poser les différents diagnostics différentiels : arthrose, chondropathies, tendinopathies, fractures, entorses, lombo sciatique ou lombo cruralgie, syndromes inflammatoires etc.

Ce bilan passe également par un examen palpatoire minutieux, les tests ligamentaires et de mobilité des mouvements majeurs mais aussi mineurs.

La rééducation des entorses du genou opéré ou non comporte des tests spécifiques recommandés permettant de suivre la récupération musculaire et fonctionnelle du patient. Les kinés qui pratiquent cette rééducation doivent les connaître.

 Les objectifs sont :

• Savoir évaluer la gravité d'une entorse du genou (tests ligamentaires et palpation) ;
• Connaître les tests validés à pratiquer pour diagnostiquer les syndromes fémoro-patellaires et les tests meniscaux ;
• Connaître les recommandations de bonne pratique concernant la rééducation de l’arthrose de hanche et du genou : selon leur niveau de preuve, certaines techniques ont plus ou moins leur place au sein du traitement kiné ;
• Acquérir le savoir-faire des techniques manuelles et les exercices kinésithérapiques recommandés en cas d'entorse du genou opéré ou non, en cas de syndrome fémoro-patellaire, ainsi qu’en cas d’arthrose du genou ou de la hanche.